La violence physique n’est pas une méthode d’éducation, mais plutôt une pratique interdite par Dieu Tout-Puissant. Nous parlerons ici de La correction selon les normes de la loi islamiqu est utilisée dans des limites très strictes et avec des contrôles légaux rigoureux. Avant de parler de la notion de violence dans l’islam, nous voulons souligner qu’un père ou un enseignant qui ne peut pas discipliner ses enfants ou ses élèves sans recourir à la violence physique est un parent ou un enseignant qui a échoué.
La correction selon les normes de la loi islamiqu
Je suis conscient, que Dieu ait son âme, que la violence n’est pas une méthode d’éducation appropriée. Elle est considérée comme l’une des pires méthodes utilisées par les faibles qui ne sont pas capables d’éduquer leurs enfants correctement, et c’est l’un des crimes les plus odieux.
En Islam, la violence physique désigne une forme de correction qui n’est pas brutale et qui ne cause ni blessures corporelles ni effets psychologiques sur les enfants. La violence physique est mentionnée seulement dans le cas de la correction de la femme, et elle est considérée comme la dernière solution à employer.
Dans certains cas, le bâton utilisé pour corriger peut être un miswak, une petite branche de bois utilisée pour se nettoyer les dents. Dans ce cas, il ne s’agit pas vraiment de violence physique, mais plutôt d’une forme de discipline. Il est préférable de suivre les méthodes d’éducation moderne avec les enfants.
Les règles de la correction physique (ou du châtiment corporel) en Islam
- “Le fouet ne doit pas être plus long que le bras”.
- “Le frappeur ne doit pas lever son bras au point où son aisselle est visible”.
- “Il ne doit y avoir aucune marque ou cicatrice sur le corps frappé”.
- “Le nombre de coups ne doit pas dépasser 10 sauf dans les limites prescrites par Dieu”.
- “Le frappeur doit s’abstenir d’insulter, de maudire ou de jurer pendant la correction physique”.
- “Il ne doit pas frapper lorsqu’il est en colère afin de ne pas perdre le contrôle”.
- “Il ne doit pas frapper les parties sensibles telles que le visage, la tête et autres”.
- “La force de la correction physique doit être exercée par l’instrument et non par le bras”.
En fin de compte, cher père et cher enseignant respecté, sachez que le châtiment corporel est une méthode de discipline et de correction, et non de vengeance. L’objectif du châtiment corporel est d’améliorer le comportement et non pas d’humilier ou de faire du mal. C’est ce qui est stipulé dans l’école Hanafite de la loi islamique. Tout usage excédant cela est injuste et un crime odieux.